Étienne De La Voye. Pas seulement une connaissance.

Discours d'ouverture du JOURNALISTE:

Étienne De La Voye. Pas seulement une connaissance.
J'ai entendu parler d'Étienne il y a assez longtemps, en tant que maître et génie de la production. Il est comme un artiste qui peint ses tableaux et ils sont immédiatement dignes du Louvre ou de l'Ermitage. Ses produits ont été achetés par des gens du monde entier pendant plus d'une décennie et personne n'a jamais su qui se cachait derrière les étiquettes des meilleures Créations Cosmétiques et ne le saurait probablement pas si je n'avais pas réussi à le rencontrer, après avoir traversé une énorme épreuve, des tentatives d'entrevue et des temps d'attente. Il est unique même dans son approche de la vie, qui peut probablement être projetée à travers son laboratoire et son dévouement à ce qu'il fait. Très probablement, mes rêves de l'interviewer seraient restés des rêves s'il n'avait pas publié sa marque de Cosmétiques et n'aurait pas ouvert la porte à ce marché avec son pied, montrant à tout le monde qui est qui et expliquant à tout le monde autour de lui: «le Propriétaire est rentré à la maison!
Un long temps d'attente et de nombreuses tentatives pour se rencontrer et nous voici ensemble, et je vous transmets ce que j'ai entendu dans la première partie.

JOURNALISTE: je vous suis très reconnaissante d'avoir enfin pris le temps pour moi de discuter. Merci beaucoup et ravi de vous rencontrer.
J'ai beaucoup entendu parler de vous en tant que génie de la cosmétique.
ÉTIENNE: Oui, vous avez réussi à m'atteindre. Je n'aime pas vraiment les interviews et tout ce qui a quelque chose à voir avec la popularité. C'est étranger à moi. Tout le monde doit faire son travail. Mais je respecte la persévérance dont vous avez fait preuve. Ravi de vous rencontrer aussi.
Aussi ne me vaut pas d'appeler un Génie», ne pense pas que ce soit vrai.


JOURNALISTE: Eh bien, pourquoi, les gens parlent de cela
ÉTIENNE: les Gens peuvent dire n'importe quoi, ce n'est que leur opinion, cela n'oblige à rien, mais il sera stupide de cacher que les réactions positives sont agréables et que les réactions négatives sont frustrantes, probablement n'importe quelle personne. J'ai décidé pour moi-même cette question il y a très longtemps, et la solution était tout simplement de ne pas lire, regarder, écouter personne et rien. Je fais juste mon truc et je ne me soucie pas vraiment de ce qui se passe autour de moi. 


JOURNALISTE: C'est à propos de l'affaire et je voudrais parler. Vous représentez une toute nouvelle marque de Cosmétiques sur le marché, c'est toujours intéressant, surtout quand une telle personne est derrière elle,
ÉTIENNE: le fait qu'il y ait une personne derrière lui est une déclaration très forte, il y a une équipe dévouée derrière elle, grâce à laquelle il existe et sans laquelle il n'y aurait rien.


JOURNALISTE: je ne m'attendais pas à une autre réponse )) mais c'est vous, autant que je sache, qui avez lancé cette machine et c'était votre idée.
ÉTIENNE: ici Aussi, c'est juste une vérité partielle, parce que, franchement, ce n'est pas moi qui ai lancé ce mécanisme. J'étais plutôt un détail de ce mécanisme. Pour la naissance de notre marque, on peut remercier Michel, c'est lui qui a permis à cette marque d'exister aujourd'hui et de faire ses premiers pas en France et dans le monde. Je ne suis qu'un humble technologue qui, toute ma vie, n'a fait que créer et inventer, rien de plus. Mais pour le fait que maintenant c'est le nôtre et dans une certaine coquille, il convient de remercier Michel et ses employés.


JOURNALISTE: nous parlerons encore du passé et de vos succès indépendants passés dans le domaine de la production de produits Cosmétiques, maintenant aujourd'hui. 
D'accord, j'ai compris, Étienne et Michel. Comment ça s'est passé? Dites-nous s'il vous plaît, nous sommes très intéressés, étant donné que vous et votre marque êtes une entreprise très «fermée» pour la société, n'utilisez pas de publicité et ne diffusez pas de nouvelles sur vous-même en masse, comme c'est généralement le cas, ne faites pas de projections publiques et d'informations sur vous assez peu.
ÉTIENNE: Eh bien, comment, maintenant je vous donne une interview))
En fait, nous avons finement réfléchi à notre politique publicitaire et à notre système de travail, pour cela, répond Michel dans notre entreprise, il est préférable de le faire avec lui, mais en partie je suis d'accord avec vous. Votre caractéristique a un biais véridique en ce sens que nous ne cherchons pas à être populaires, mais à être utiles. Souvent, la popularité et l'utilité vont en parallèle et ici vous devez comprendre ce que vous cherchez au départ: pour la popularité ou pour la qualité/utilité. Dans le même temps, dans deux directions, il est très difficile de travailler, presque impossible, probablement.


JOURNALISTE: Oui, je suis d'accord. Revenons. Étienne et Michel. Comment ça s'est passé? Ces moments sont les plus intéressants.
ÉTIENNE: ET en réalité, pas très intéressant. Juste deux personnes, grâce à l'un d'eux, ont décidé de faire leur entreprise et de faire des affaires.


JOURNALISTE: Pourquoi grâce à un?
ÉTIENNE: dans une relation, il y a toujours quelqu'un de plus actif. Dans notre cas, c'était Michel. Au moins au début.


JOURNALISTE: pourquoi Michel, parce que c'est vous qui êtes responsable du produit?
ÉTIENNE: le Produit n'est qu'une petite partie de l'entreprise. Il y a aussi la marque, le système, la publicité, etc., dans lequel je ne comprends absolument rien, contrairement à Michel. Avec un produit, vous ne pouvez pas aller loin sur le marché. Je le sais, je fabrique des produits depuis presque 40 ans, c'est beaucoup, je sais de quoi je parle. C'est pourquoi Michel était au départ celui qui était l'agrégateur de l'idée et la mettre en œuvre à ses risques et périls, et je lui ai simplement fait confiance et je suis allé après lui, il m'a convaincu. Je me sentais déjà bien au stade de la décision de créer une entreprise.

JOURNALISTE: il Faudra absolument discuter avec Michel pour dévoiler cette question.
ÉTIENNE: forcément, Il est exactement ce dont vous avez besoin. Eh bien, nous avons encore besoin de quelques personnes qui ont aidé à faire tout cela, des gens qui ont eu de l'expérience et ont eu confiance en nous, que Michel nous a attirés dans l'équipe.


JOURNALISTE: Mais d'abord je vous écouterai, avec votre permission ))) j'entendrai votre version ))
ÉTIENNE: croyez-Moi, le mien ne sera pas différent du sien. J'espère que ))


JOURNALISTE: je suis Sûr que ce sera le cas))
Comment ça s'est passé?
ÉTIENNE: Rien de spécial. Chacun de nous a travaillé à sa place: je suis dans mon laboratoire, au service des entreprises de beauté, Michelle sur mon lieu de travail. Nous nous sommes rencontrés il y a assez longtemps, quand nous étions encore plus jeunes)) nous, il me semble, avons formé de très bonnes relations amicales, qui ont finalement évolué en amitiés. Et après, pendant un certain temps, Michelle a commencé à parler de plus en plus que d'avoir des compétences comme celle-ci vaut la peine de penser à construire sa propre entreprise. Et compte tenu de ses ambitions, je le comprends, il serait né pour ça. Mais je ne l'ai pas pris au sérieux parce que nous avons souvent discuté des processus d'affaires et des différentes entreprises. Et à chaque fois, il a commencé à en parler de plus en plus souvent, de plus en plus. Cela a finalement conduit au fait qu'il a commencé à m'incliner à cela, et je n'étais absolument pas là parce que j'étais heureux à ma place et que tout me convenait. Mais, l'eau aiguise la pierre, et c'est à la fin que nous sommes ici. Il est très obstiné ))


JOURNALISTE: «À sa place», est-ce en production? Où travailliez-vous à ce moment-là?
ÉTIENNE: c'était toujours la production et le plus intéressant, c'est maintenant la même chose que je l'ai fait à l'époque, mais les problèmes sont beaucoup plus importants et la responsabilité ))) je ne comprends toujours pas comment il a pu me convaincre.

Je suis un technologue dans la production de produits Cosmétiques, tout le temps, aussi longtemps que je me souvienne et avant l'Atelier, j'ai travaillé pour moi-même, au service de différentes marques de Cosmétiques et de remplir leurs commandes, en créant ce dont ils avaient besoin, en effectuant les tâches qui me sont assignées. Et cela me convenait parfaitement. Il y avait bien sûr leurs inconvénients, comme partout ailleurs, mais les avantages étaient également suffisants pour le faire avec plaisir. On peut dire que j'étais un artiste libre et qu'on m'appelait quand il y avait besoin d'aide, d'un regard neuf ou d'une décision audacieuse.


JOURNALISTE: AH, qu'avez-vous fait exactement et pour quelles marques?
ÉTIENNE: Beaucoup de choses liées à la production de produits Cosmétiques. C'est une information technologique interne, surtout pas seulement pour moi, comme la liste des entreprises avec lesquelles j'ai travaillé. Je préférerais que cette information reste avec moi, parce que non seulement je suis le propriétaire et certainement pas le propriétaire. La seule chose que je peux dire que je fais un tel travail depuis longtemps, loyalement et avec plaisir ))


JOURNALISTE: et pourtant, nous avons pris une mesure aussi audacieuse que la création de votre marque et de votre entreprise.
ÉTIENNE: Donc, je n'ai rien changé, sauf pour avoir encore plus de liberté pour inventer et mettre en œuvre, je crée toujours et c'est tout ce qui me concerne. Je dirais que je fais la même chose, plus les questions nécessaires à notre solution, qui n'étaient pas là avant. Le reste est sur les épaules de mon partenaire et ami Michel, ainsi que de son équipe et d'autres collaborateurs dévoués. 


JOURNALISTE: tout semble très simple
ÉTIENNE: c'est probablement parce que je le dis )) en fait, tout est très difficile, comme dans toute entreprise qui va au-delà du simple travail.


JOURNALISTE: ET ainsi. Vous travaillez, Michelle arrive et vous convainc de faire votre marque et de fonder votre entreprise, n'est-ce pas?
ÉTIENNE: Si en deux mots et très généralisé, alors oui.


JOURNALISTE: Comment a-t-il confirmé sa conviction de le faire devant vous?
ÉTIENNE: c'est mieux de lui demander.


JOURNALISTE: D'accord, nous allons certainement demander s'il y a une telle opportunité. À quelle vitesse avez-vous accepté cela?
ÉTIENNE: Presque autant de temps qu'il a accepté d'être interviewé ))) en fait, il m'a convaincu pendant plusieurs années. Alors nous n'avons pas eu le temps de tout discuter en détail, alors il n'avait pas assez d'arguments. Vous voyez, à un âge où tout est arrangé, c'est très problématique d'accepter une telle démarche. En conséquence, tout cela s'est étiré. Mais le résultat est un-nous sommes ici.


JOURNALISTE: Qu'est-ce qui a été l'argument final, selon vous, pour décider d'aller dans cette direction?
ÉTIENNE: Liberté. Liberté d'action. Ce que nous payons si quelque chose ne fonctionne pas. Mais la compréhension même de la Liberté est très tentante. C'est probablement le premier qui mène au second – de nouveaux développements qui n'existaient pas auparavant. La possibilité de créer ce que vous pensez être de qualité, les bonnes personnes et utiles. Créer sans regarder autour de vous. Et troisièmement, le système de notre travail, qui est également nouveau sur le marché, mais si nécessaire pour fonctionner correctement. Voici les trois principales croyances qui ont été le principal poids sur la balance de la décision.


JOURNALISTE: une information très séduisante. Est-ce que je comprends toutes les questions qui révèlent votre réponse, sauf pour Michel?
ÉTIENNE: Absolument vrai.

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